Tout le monde souhaiterait avoir une relation saine avec la nourriture. Manger à sa faim, s’arrêter lorsque la satiété se fait ressentir, ne pas devoir réfléchir à son alimentation ne semblent plus des comportements instinctifs. Il existe d’ailleurs d’innombrables sites, livres, programmes, etc. pour atteindre une convoitée “alimentation saine”. Pourtant, peu de ces méthodes fonctionnent, car la majorité d’entre elles ne prennent pas en compte le rôle de l’inconscient sur le comportement alimentaire.

En réalité, de nombreux facteurs pèsent littéralement sur la balance alimentaire. On peut notamment citer :

• les liens sociaux : manger est aussi une occasion de se retrouver, de célébrer et de partager ;
• la protection identitaire : s’amincir engendre des modifications de son apparence, mais aussi des changements dans le regard des autres qui peuvent être difficiles à gérer pour certaines personnes ;
• l’alimentation réconfort : la nourriture peut répondre à un besoin psychologique en procurant du réconfort lors de périodes difficiles. Malheureusement, le plaisir associé à la dégustation de son aliment favori est très éphémère et peut s’accompagner de culpabilité. Masquer ses émotions par la nourriture est d’ailleurs une source majeure de troubles alimentaires ;
• le conditionnement familial : ce qui se passe dans notre enfance détermine en grande partie nos comportements d’adultes y compris nos troubles et nos névroses. Dans le cadre des troubles alimentaires, l’inconscient peut nous empêcher de maigrir suite à de nombreux conditionnements. Par exemple : le surpoids pouvait être banalisé dans notre famille, certains aliments étaient peut-être diabolisés et bannis des repas, nos propres proches souffraient déjà éventuellement de TCA, etc.
• l’anxiété : nos modes de vie accélérés, les attentes toujours plus croissantes de nos enfants, de nos conjoints, de nos patrons, de nos idéaux nous poussent à nous mettre la pression. Une pression que l’on appelle gentiment le stress mais lorsque le stress est trop important, cela s’appelle du stress oxydatif; c’est à dire que nous produisons en excès du cortisol (l’hormone du stress). La conséquence directe de cette surproduction est pour beaucoup un trouble du sommeil, soit à l’endormissement, soit en réveil nocturne, soit en réveil le matin avec le sentiment de n’avoir pas récupéré.
• les compulsions : alors, pour faire face à ce sentiment de fatigue, de manque d’énergie, le corps a besoin de substances et là, la volonté ne suffit plus pour résister au grignotage ou à autre chose. Si la personne a de la volonté pour résister, alors elle va stocker dans son corps de l’eau et de la nourriture et malgré des régimes draconiens, il est impossible de mincir.

La liste est non exhaustive et dépend de l’histoire de chacun. C’est pourquoi, au cabinet Audyva d’hypnose thérapeutique à Genève, nous vous aidons, grâce à l’hypnose, à identifier vos propres blocages inconscients afin de pouvoir adopter de nouveaux comportements alimentaires sains et durables.